LES TORCHE DU PASSé

Les torche du passé

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Le chamane observait l’étranger avec une cadence silencieuse. L’homme, grelottant marqué par les rafales de vent, tenait extrêmement son inestimable rouleau avoisinant sa cuisse, tels que s’il contenait une vérité extraordinairement fragile pour devenir confiée aux éléments. Autour d’eux, les villageois s’étaient rassemblés, créant un espace hésitant. Ils attendaient un symbole, une élocution qui viendrait valider ce que tous ressentaient déjà : cet homme n’était pas arrivé ici par destin. Les enseignements de la voyance par téléphone sérieuse rappelaient que les petites étoiles envoyés par les astres ne devaient jamais représenter ignorés. Si les cendres avaient révélé cette venue, c’était qu’elle portait en elle un effet encore mystérieuse. Le chamane se pencha, ramassa une poignée de neige et la laissa fondre entre ses main. L’eau rejoignit le sol, s’infiltrant dans la planète gelée. Tout était sorte, tout était marqué dans un accord fragile. Sans un proverbe, il conduisit l’étranger poésie le large bûcher du village. Les flammes y avaient dansé la nuit précédente, laissant derrière elles une couche de cendres encore tièdes. C’était ici que le destin s’était dit, ici que le destin s’était dessiné évident même que l’homme ne pose le pied dans le village. Les cendres avaient conservé l’empreinte des guidances transmises. La voyance sérieuse enseignait que les restes d’un feu gardaient la avertissement des matérialités qu’il avait révélées. Le chamane s’agenouilla, passa sa main au-dessus des résidus de achèvement consumé. Une brise souleva la poussière black, et il y lut ce que les ancetres avaient laissé arrière eux. Les mêmes formes revinrent : une silhouette, un manuscrit, une tempête. Mais cette fois, des éléments de futuriste apparut. Une montagne, grande, solitaires, creusée de galeries sombres à savoir des yeux figés dans l’ombre. C’était un endroit qu’il reconnaissait, un ancestral sanctuaire oublié, perdu dans la steppe. Les enseignements de la voyance téléphone lui soufflèrent à ce moment-là une truisme. Ce n’était d'une part le voyageur qui était attendu. Ce qu’il transportait dans ce rouleau était un énoncé ancien, un mémoire laissé par ce que avaient commun décoder les siècles avant eux. Le vent s’apaisa, à savoir si la rond elle-même comprenait l’ampleur de la renseignement. le lieu venait d’entrer dans un destinée qui le dépassait. Les cendres n’avaient jamais menti, et leur divination n’était qu’à moitié parfaite.

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